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Description du blog felin :
Chookie et ses amis

Création : Lundi 9 Juil 2007
Dernier article : 15 Juil 2013
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Les photos de mon (mes) chat(s) !



 Autour de mon Blog

Note ce blog !




 

Joyeuses fêtes à tous les minous et leurs maîtres!!!


Nous voici de retour après de longues semaines d'absence.
Nous allons bien comme vous le voyez sur la photo, nous prenons la pose et attendons nos cadeaux de Noel!!!!
Le facteur-père noel va bientôt passer!
A part ça, c'est pas sympa mais Chatbada (au centre) se fait stériliser et pucer demain...
On a tout prévu pour se faire pardonner: des cadeaux à gogo et un coffret de délicieuses terrines à déguster avec ses frères.
 Posté le Mercredi 23 Décembre 2009 à 10h18 | Laisser un commentaire| 7 commentaires | Lien permanent

 

Merci à tous et pensées pour les chats disparus dernièrement...


Merci à tous de nous avoir témoigné votre sympathie quant à la disparition de notre Chopinou. On a l'impression de tous faire partie d'une même famille, celle des chats.
Nous pensons également à Binou et à son Paquito qui a dû retrouver tous nos compagnons disparus.
La vie continue malgré tout, malgré la peine. Il faut penser aussi à ceux qui nous entourent encore ou ceux qui ont besoin de nous.
 Posté le Samedi 26 Septembre 2009 à 16h10 | Laisser un commentaire| 4 commentaires | Lien permanent

Au revoir Chopinette...


A notre petite Chopinette qui nous manque déjà.
La vie est injuste et emporte les êtres les plus innocents et les plus adorables trop tôt.
Tu t'es endormie paisiblement sans trop de souffrance et tu rejoins ma petite Chookie et tous les autres chats que l'on a perdu, et ils sont nombreux... Fais leur une énorme léchouille comme tu avais l'habitude de nous en faire à nous, pauvres humains, qui sommes bien tristes en ce moment sans toi...

J'espère que le paradis des chats n'est pas trop loin de celui des humains comme ça on se retrouvera un jour et la mort sera plus agréable...
Repose en paix mon Chopinou, on t'aime très fort.
 Posté le Samedi 19 Septembre 2009 à 18h01 | Laisser un commentaire| 8 commentaires | Lien permanent

Le chat vu par ses victimes...
Voici une fable de La Fontaine intitulée "le Cochet, le Chat et le Souriceau" qui évoque un chat hypocrite, sournois et fourbe.
Au XVIIème siècle, le chat était mal vu. On lui préférait le chien, servile et soumis à son maître.
Vivement le siècle des Lumières!

Ci-contre: Lilou et sa peluche (=un chien!!).


Un souriceau tout jeune, et qui n'avait rien vu,
Fut presque pris au dépourvu.
Voici comme il conta l'aventure à sa mère :
«J'avais franchi les monts qui bornent cet État
Et trottais comme un jeune rat
Qui cherche à se donner carrière,
Lorsque deux animaux m'ont arrêté les yeux :
L'un doux, bénin et gracieux,
Et l'autre turbulent et plein d'inquiétude ;
Il a la voix perçante et rude,
Sur la tête un morceau de chair,
Une sorte de bras dont il s'élève en l'air
Comme pour prendre sa volée,
La queue en panache étalée;»
Or c'était un cochet dont notre souriceau
Fit à sa mère le tableau,
Comme d'un animal venu de l'Amérique.
«Il se battait,dit-il, les flancs avec ses bras,
Faisant tel bruit et tel fracas,
Que moi, qui, grâce aux dieux, de courage me pique,
En ai pris la fuite de peur,
Le maudissant de très bon coeur.
Sans lui j'aurais fait connaissance
Avec cet animal qui m'a semblé si doux :
Il est velouté comme nous,
Marqueté, longue queue, une humble contenance,
Un modeste regard, et pourtant l'oeil luisant.
Je le crois fort sympathisant
Avec Messieurs les rats; car il a des oreilles
En figure aux nôtres pareilles.
Je l'allais aborder, quand d'un son plein d'éclat
L'autre m'a fait prendre la fuite.
- Mon fils, dit la souris, ce doucet est un chat,
Qui, sous son minois hypocrite,
Contre toute ta parenté
D'un malin vouloir est porté.
L'autre animal, tout au contraire,
Bien éloigné de nous mal faire,
Servira quelque jour peut-être à nos repas.
Quant au chat, c'est sur nous qu'il fonde sa cuisine.

Garde-toi, tant que tu vivras,
De juger des gens sur la mine.»
 Posté le Vendredi 14 Août 2009 à 15h56 | Laisser un commentaire| 1 commentaire | Lien permanent

 

Pour ceux qui aiment la littérature et les chats (ou l'inverse!)...
Je commence une petite anthologie autour du chat pour mon plaisir (et pourquoi pas le vôtre?). Je remonte (à défaut) à la Renaissance avec un poème de Du Bellay, poète de la Pléiade et amoureux des chats. Il écrit celui-ci à l'occasion de la mort de son chat, Belaud. Ceux qui ont perdu un être cher à poils seront touchés par ce texte.

Pour ma part, il sera dédié à Chookie.

Epitaphe d'un chat

Petit museau, petites dents,
Yeux qui n'étaient point trop ardents,
Mais desquels la prunelle perse
Imitait la couleur diverse
Qu'on voit en cet arc pluvieux
Qui se courbe au travers des cieux ;
La tête à la taille pareille,
Le col grasset, courte l'oreille,
Et dessous un nez ébénin
Un petit mufle léonin,
Autour duquel était plantée
Une barbelette argentée,
Armant d'un petit poil follet
Son musequin damoiselet ;
La gorge douillette et mignonne,
la queue longue à la gueunonne,
Mouchetée diversement
D'un naturel bigarrement :
Tel fut Belaud la gente bête
Qui des pieds jusques à la tête,
De telle beauté fut pourvu
Que son pareil on n'a point vu.

Joachim du Bellay



Voici l'intégralité du poème en langue non modernisée:

EPITAPHE

D'UN CHAT.

MAINTENANT le vivre me fâche ;
Et afin, Magny, que tu sçache,
Pourquoi je suis tant éperdu,
Ce n'est pas pour avoir perdu
Mes anneaux, mon argent, ma bourse ;
Et pourquoi est-ce donques ? pour ce
Que j'ai perdu depuis trois jours
Mon bien, mon plaisir, mes amours.
Et quoi ? ô souvenance gréve !
A peu que le cœur ne me creve,
Quand j'en parle, ou quand j'en écris :
C'est Belaud mon petit Chat gris :
Belaud, qui fut par avanture
Le plus bel œuvre de que Nature
Fit onc en matiere de Chats :
C'étoit Belaud la mort aux Rats,
Belaud, dont la beauté fut telle,
Qu'elle est digne d'être immortelle.
Donques Belaud premierement
Ne fut pas gris entierement,
Ni tel qu'en France on les voit naître ;
Mais tel qu'à Rome on les voit être.
Couvert d'un poil gris argentin,
Ras & poli comme satin,
Couché par ondes sur l'eschine,
Et blanc dessous comme un hermine :
Petit museau, petites dents,
Yeux qui n'étoient point trop ardents ;
Mais desquels la prunelle perse,
Imitoit la couleur diverse
Qu'on voit en cet arc pluvieux,
Qui se courbe au travers des Cieux.
La tête à la taille pareille,
Le col grasset, courte l'oreille,
Et dessous un né ébenin,
Un petit mufle lyonnin,
Au tour duquel étoit plantée
Une barbelette argentée,
Armant d'un petit poil folet
Son musequin damoiselet.
Jambe gresle, petite patte,
Plus qu'une moufle delicate ;
Sinon alors qu'il degaînoit
Cela, dont il égratignoit :
La gorge douillette & mignonne,
La queue longue à la guenonne,
Mouchetée diversement
D'un naturel bigarement :
Le flanc haussé, le ventre large,
Bien retroussé dessous sa charge,
Et le dos moyennement long,
Vrai sourian, s'il en fut ong.
Tel fut Belaud, la gente Bête,
Qui des pieds jusques à la tête,
De telle beauté fut pourvû,
Que son pareil on n'a point vû.
O quel malheur ! ô quelle perte,
Qui ne peut être recouverte !
O quel deuil mon ame en reçoit !
Vraiment la mort, bien qu'elle soit
Plus fier qu'un ours, l'inhumaine,
Si de voir, elle eût pris la peine,
Un tel Chat, son cœur endurci
En eût eu, ce croi-je, merci :
Et maintenant ma triste vie
Ne haïroit de vivre l'envie.
Mais la cruelle n'avoit pas
Goûté les folâtres ébas
De mon Belaud, ni la souplesse
De la gaillarde gentillesse :
Soit qu'il sautât, soit qu'il gratât,
Soit qu'il tournât, ou voltigeât
D'un tour de Chat, ou soit encores,
Qu'il print un Rat, & or & ores
Le relâchant pour quelque temps
S'en donnât mille passe-temps.
Soit que d'une façon gaillarde
Avec sa patte fretillarde,
Il se frottât le musequin ;
Ou soit que ce petit coquin
Privé sautelât sur ma couche,
Ou soit qu'il ravît de ma bouche,
La viande sans m'outrager,
Alors qu'il me voyoit manger ;
Soit qu'il fît en diverses guises
Mille autres telles mignardises.
Mon Dieu ! quel passe-tems c'étoit
Quand ce Belaud vire-voltoit,
Folâtre au tout d'une pelotte ?
Quel plaisir, quand sa tête sotte
Suivant sa queue en mille tours,
D'un roüet imitoit le cours !
Ou quand assis sur le derriere
Il s'en faisoit une jarretitere
Et montrant l'estomac velu,
De panne blanche crespelu,
Sembloit, tant sa trogne étoit bonne,
Quelque Docteur de la Sorbonne ;
Ou quand alors qu'on l'animoit,
A coups de patte il escrimoit,
Et puis appaisoit sa colere,
Tout soudain qu'on lui faisoit chere.
Voilà, Magny, les passe-temps,
Où Belaud employoit son temps ;
N'est-il pas bien à plaindre donques ?
Au demeurant tu ne vis onques
Chat plus adroit, ni mieux appris
A combattre Rats & Souris.
Belaud sçavoit mille manieres
De les surprendre en leurs tesnieres,
Et lors leur falloit bien trouver
Plus d'un pertuis, pour se sauver ;
Car onques Rat, tant fût-il vite,
Ne se vit sauver à la fuite
Devant Belaud ; au demeurant
Belaud n'étoit pas ignorant :
Il sçavoit bien, tant fut traitable,
Prendre la chair dessus la table,
J'entens, quand on lui presentoit,
Car autrement il vous grattoit,
Et avec la patte friande
De loin muguetoit la viande.
Belaud n'étoit point mal-plaisant,
Belaud n'étoit point mal-faisant,
Et ne fit oncq; plus grand dommage
Que de manger un vieux fromage,
Une linotte & un pinson
Qui le fâchoient de leur chanson ;
Mais quoi, Magny, nous-mêmes hommes
Parfaits de tous points nous ne sommes.
Belaud n'étoit point de ces Chats,
Qui nuit & jour vont au pourchats,
N'ayant souci que de leur panse :
Il ne faisoit si grand' dépense,
Mais étoit sobre à son repas
Et ne mangeoit que par compas.
Aussi n'étoit-ce sa nature
De faire par-tout son ordure,
Comme un tas de Chats, qui ne font
Que gâter tout par où ils vont.
Car Belaud, la gentille bête,
Si de quelque acte moins qu'honnête,
Contraint, possible il eût été,
Avoit bien cette honnêteté
De cacher dessous de la cendre
Ce qu'il étoit contraint de rendre.
Belaud me servoit de joüet ;
Belaud ne filoit au roüet,
Gromelante une letanie
De longue & fâcheuse harmonie ;
Ains se plaignoit mignardement
D'un enfantin miaudement.
Belaud (que j'aye souvenance)
Ne me fit oncq; plus grand' offense
Que de me réveiller la nuit,
Quand il entroyoit quelque bruit
De Rats qui rongeoient ma paillasse :
Car lors il leur donnoit la chasse,
Et si dextrement les happoit,
Que jamais un n'en échappoit ;
Mais, las, depuis que cette fiere
Tua de sa dextre meurtriere
La sure garde de mon corps,
Plus en sureté je ne dors :
Et or, ô douleurs non pareilles !
Les Rats me mangest les oreilles :
Même tous les vers que j'écris,
Sont rongez de Rats & Souris.
Vraiment les Dieux sont pitoyables
Aux pauvres humains miserables
Toujours leur annonçant leurs maux,
Soit par la mort des animaux,
Ou soit par quelqu'autre présage,
Des Cieux le plus certain message.
Le jour que la sœur de Cloton
Ravit mon petit peloton,
Je dis, j'en ai bien souvenance,
Que quelque maligne influence
Menaçoit mon chef de là haut,
Et c'étoit la mort de Belaud :
Car quelle plus grande tempête
Me pouvoit foudroyer la tête !
Belaud étoit mon cher mignon,
Belaud étoit mon compagnon,
A la chambre, au lit, à la table ;
Belaud étoit plus accointable
Que n'est un petit Chien friand,
Et de nui n'alloit point criand
Comme ces gros Marcous terribles,
En longs miaudemens horribles :
Aussi le petit Mitouard
N'entra jamais en Matouard :
Et en Belaud, quelle disgrace !
De Belaud s'est perdu la race.
Que plaît à Dieu, petit Belon,
Que j'eusse l'esprit assez bon,
De pouvoir en quelque beau stile
Blasonner ta grace gentile,
D'un vers aussi mignard que toi :
Belaud, je te promets ma foi,
Que tu vivrois, tant que sur terre
Les Chats aux Rats feront la guerre.
 Posté le Lundi 10 Août 2009 à 23h06 | Laisser un commentaire| 2 commentaires | Lien permanent

C'est l'amour...


C'est l'amour-mour-mour-mour! comme dit une chanson ringarde... Voilà ce que Chatbada murmurait à l'oreille de Voyou dans le dernier épisode.
Pas de bêtise pour aujourd'hui mais ce n'est que partie remise!
Pourquoi ne pas mordiller les tuyaux de l'aquarium? pour ensuite faire une bonne pêche. Les poissons ressemblent maintenant à de belles sardines. On pourrait en faire de beaux filets!
 Posté le Jeudi 6 Août 2009 à 19h42 | Laisser un commentaire| 2 commentaires | Lien permanent

Je vais te dire un secret...


Chatbada murmure quelque chose à l'oreille de Voyou. Des mots doux ou bien une nouvelle bêtise à faire? Car la chipie n'est pas la dernière pour ce genre de choses. Elle rentre dans l'âge bête comme les ados!
 Posté le Mercredi 5 Août 2009 à 10h37 | Laisser un commentaire| 5 commentaires | Lien permanent

La bande des 3


Une belle brochette de chats! Chatbada est bien à l'aise entourée de ses grands frères. Les débuts ont été un peu difficiles mais finalement ils s'entendent comme larrons en foire! vive les bêtises! les murs de l'appartement sont un peu plus démolis chaque jour mais c'est pas grave...
 Posté le Mercredi 29 Juillet 2009 à 12h46 | Laisser un commentaire| 7 commentaires | Lien permanent

Merci!!!!!


A travers cette dernière photo de Chatbada, je remercie les élèves rencontrés cette année au collège de Miélan. Cela n'a pas été facile, mais il ne reste que des bons souvenirs. Cela fut un plaisir de revenir en tant que professeur dans cet établissement. J'espère revenir l'année prochaine!
Grosses bises à tous et très bonnes vacances (STUDIEUSES: beaucoup de lecture et de cahier de vacances pour préparer la 5ème notamment).

PS: Merci Jason et bonne route!
 Posté le Mardi 30 Juin 2009 à 22h40 | Laisser un commentaire| 2 commentaires | Lien permanent

L'arrivée de Chatbada dans la famille


Celle-ci fut rude... la preuve, quand elle tombe nez à nez avec le gros pépère de 6.5kg, Voyelle. Velcro, lui, n'est pas loin et voit déjà d'un mauvais oeil cet intrus qui va apporter de la concurrence pour les caresses.
Mais tout est rentré dans l'ordre, tout le monde y a trouvé son intérêt (=ça fait plus de bouffe...).
 Posté le Vendredi 12 Juin 2009 à 12h14 | Laisser un commentaire| 4 commentaires | Lien permanent

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